24 février 2017
VENTs.
Pour aller à Nantes, j'ai deux ponts à traverser. Sous mon vélo, la Loire opaque est mesquine. Mercurisée souvent. J'oublie que c'est juste de l'eau et mon coeur change. Je frissonne, jamais habituée. De temps en temps, il y a du vent. Les ponts bruissent...