Notre cantine.
Dans un restaurant, je suis très exigeante vu les prix pratiqués, ma grande expérience (!) et mon savoir-faire (!).
J'explique pourquoi je me la pète en matière de cuisine :
Expériences :
Dès que j'ai su me tenir debout sur une chaise, ma mémé me montrait comment elle touillait un ragoût, des tripes, la sauce pour les raviolis... et elle me tendait la cuillère en bois, après avoir soufflé pour que je puisse goûter. Ma mère cuisinait sans arrêt. Chez moi, c'était une cuisine simple, variée, avec des produits frais. Pour beaucoup de gens, en ce temps là (!) c'était le quotidien.
Après, j'ai eu la chance de pouvoir tester la cuisine de grandes maisons. Souvenirs inoubliables.
Souvent, je préfère un bon casse-croûte composé maison plutôt qu'un repas trop gras, trop salé ou trop industriel. Je suis très, très méfiante et très critique. J'ai souvent une pensée émue pour les touristes étrangers venant en France, rêvant de gastronomie française, lorsque je me retrouve devant une assiette décourageante, insipide et hors de prix.
Savoir-faire :
Ça fait 40 ans que je cuisine quotidiennement. Modestement mais sûrement. Avec de grands succès et de beaux échecs ! Normal.
En ce moment, si on veut se faire plaisir, on réserve au Pélican à Géneston (un quart d'heure de Nantes). L'accueil et le cadre sont très plaisants.
Menu à 26 euros.
Les amuse-bouches
Il y avait aussi des crèmes brûlées au foie gras. Mais, l'appareil photo a été moins rapide que nos cuillères !
Crème de butternut et son biscuit au chocolat.
L'entrée
Carpaccio de saumon, concombre, yuzu.
Le plat
Cabillaud, risotto, chorizo.
Le dessert
Chocolat, mandarine.
Praliné, biscuit au riz soufflé, pommes.
Le café
Ils ont une belle carte de cafés différents pour les amateurs.
Satisfaction totale.